MEDIA-TORT

Le plus grave, ce n’est pas que M. Zemmour se présente.
Le plus grave est qu’il existe.

Beaucoup se présentent.
Mais n’existent pas.

Le média numérique est devenu une pompe publicitaire,
Qui aspire de la merde et refoule du pognon.

Nous nous complaisons dans la boue et M. Zemmour se nourrit depuis longtemps de notre médiocrité, dont il se révèle être un accélérateur, d’Hommes décérébrés. Et ne possède que cette « qualité » au cœur de cette Ex-France des Lumières.

Définitivement éteintes.
A force de renier la magie du temps de rien faire et l’éclat du silence.
Les individus épais aux idées épaisses surnagent comme des étrons sur le fleuve. Et les pousses-ballons charrient des millions.

La France des philosophes devait être probablement la plus belle des France.
Elle se construisait et le média n’existait pas.
La pensée individuelle, les principes de respect au service d’une force collective. La lenteur et la science en fer de lance.

Le cancer médiatique ne se guérit pas. Il est métastasé sur nos écrans.
L’Homme n’enregistre plus.
Les plus malades cherchant leur exposition aux objectifs Ultra-Violents.

Pensant exister là…
Pauvres fétus de « piaille »…

Il reste dans ce monde là la force et l’organisation de notre éducation.
Je rêve d’un « Grand Homme » au dessus qui nous parle juste en se tenant droit.

Je rêve d’un  » Grand Homme »,
…d’au moins 1.90 m…

ÎLE

Iel : « …Tu as du voir mes racines blondes. La réalité est que je suis une blonde décolorée ».

Elle : « …Tu n’es pas blond mais une blonde ??!… »

Iel : « …Oui. Regarde, je n’ai pas de poils sous les bras… »

Elle : « …Mais ce n’est pas un critère pour déterminer que tu es une fille ou un garçon…! »

Iel : « …Ah… »

Elle : « …et non. Ce n’est pas un critère… »

Iel : « …ce n’est pas un critère…et bien, alors, j’aime bien porter des soutiens-gorges en cachette… »

Elle : « …Ah….Et est ce que le fait de ne pas porter de soutien-gorge est un critère pour dire que nous sommes un garçon ?… »

(……)

« …..Non…. », soupira t’iel.

Elle : « …Ah… »

(…….)

Iel : « …Non, le port du sein n’est pas obligatoire…Encore un critère qui tombe… »

(……..)

Iel : « ….Bon, où en étions nous….où en est téton…?

Elle : « …pas un critère…. »

Iel : « …Bon….alors, petite, j’aimais bien porter les culottes de ma maman…Tu vois, « ça » devient une évidence.

Blonde devant.
Puis Brun derrière.
J’ai retourné ma veste.

(….)

Tu vois le tableau..?
Soutien-gorge..,
Culotte..,
P’tite veste en peau retournée..,
Un p’tit 43/44 à talents…

(…et Iel tourna sur iel même…)

LA VIDA ES UNA TOMBOLA

« ….Un accident de chasse aurait pu tourner au drame. Les faits se sont produits jeudi 11 novembre à Flagy, dans le Clunisois, lors d’une battue aux sangliers. Vraisemblablement lors d’un tir tendu, la balle d’un chasseur a traversé la porte d’entrée d’une habitation et s’est logée dans le mur de la salle à manger. Là même où se trouvait une jeune fille qui regardait la télévision… »

Le journal de Saône et Loire – 16 Novembre 2021.

« … Le président de la société de chasse [m]’a démontré tout le plan d’organisation et tout était rigoureux : les postes étaient bien établis, les règles et les angles de tirs rappelés. L’explication de ces faits relève sans doute d’une balle qui a ricoché… »

Le journal de Saône et Loire – 16 Novembre 2021.

Il est toujours inconfortable d’être pris pour un con par un Président plus con que soi.
D’avoir dans les yeux ce regard qui ment. Qui couve le camarade en kaki et dans le caca.
Qui a fait la connerie qu’il ne faut pas faire mais qui se reproduira.
A bien y regarder, il y en a un paquet de balles qui ricochent dans les maisons.
Tous les ans.
Moi, je dis : « il y en a trop de maisons. Il faut en enlever ».
Le dernier ricochet qui a fait mouche a terminé dans la gorge d’un conducteur.
Il avait 67 ans…
…Pareil… « … les postes étaient bien établis, les règles et les angles de tirs rappelés. L’explication de ces faits relève sans doute d’une balle qui a ricoché… »
On lui a expliqué mais il n’a rien voulu savoir : il est mort sans dire au-revoir à personne…Contrarié sans doute par la mauvaise foi.

Et, là, nous ne sommes que dans le Clunisois…

Imaginez dans le Bouchonnois.