La liberté ?
C’est une solitude conditionnée…
La liberté ?
C’est une solitude conditionnée…
Artistes, créateurs, inventeurs, auteurs, écrivains, poètes…
Fuyez votre égo !
Sinon, vous mourrez…
Quoi de plus simple que la nudité,
Quoi de plus dur que de la faire respirer…
Fleur Depeau.
Mon Dieu !…Accrochons nous au divin….
Comme une forme d’impuissance terrestre. Cette impuissance même qui guide les croyants.
Mesdames Messieurs, ne vous offusquez pas.
Vos croyances ne sont que l’expression de vos faiblesses.
Il est normal d’en avoir.
Vous êtes humains
Chacun est perclus des siennes.
Par exemple, je bois du vin.
Je n’aime pas la mort.
Je n’aime pas « le noir ».
Sauf en chocolat.
Par contre, Mesdames Messieurs les croyants,
Si vous pouviez arrêter de faire chier les autres avec vos romans à 10 000 pages,
Vos rhétoriques d’école primaire,
Et, encore, je suis large….
Il y a une majorité d’humains que cela n’intéresse pas.
Ils se rassurent autrement.
Et vous leur faites peur.
S’il vous plaît, déversez vous dans votre coin, entre vous.
Ensemble.
Faites un barbecue.
Lorsque tu donnes, la limite, la difficulté se dessinent au moment où l’autre ne perçoit plus qu’il reçoit.
Il s’habitue.
Une femme aride est t’elle forcément vieille ?
A partir du moment où il y a le moindre dégât humain, aucune décision n’est bonne.
C’est une décision.
C’est tout.
Qu’il faut assumer individuellement. Ou collectivement.
Certains le font très bien. Ils gouvernent. Ils dirigent.
D’autres pas.
Ils ne sont ni les plus faibles. Ni les moins respectables.
Le pluriel de « vélo », c’est « des routes »…Parce que, « un vélo, des routes »…
Celui de « une chance », c’est « des veines ».
D’ailleurs, Monsieur disait à Madame que, ce soir, il est « en veines » (fem.pluriel). Madame confirmait que, ce soir, elle a de « la chance » ( fem.singulier).
Lou PHOQUE
En acceptant les failles de chacun, l’individu invente une zone de tolérance pour tous.
Une zone d’enfance adulte.
Un no man’s land d’insouciance.
Les arbres sont à l’abri d’eux mêmes….
Voilà peut être pourquoi ils vivent si longtemps.
Ils ne craignent que d’être déracinés.
Une succession de plis et de creux tisse un drap.
Une couverture.
Une protection.
Le ciel a zébré après le passage de l’orage…..Le ciel, lui, était devenu auparavant tout noir. D’un coup. Noir de colère peut-être….il n’était pas content on dirait car il s’est déchaîné. Il est resté sage cependant. Il n’a rien emporté, il a juste prévenu.
Et, pendant ces instants, l’homme, habituellement grande bouche, soucieux de la nature quand.……non, non, soucieux de rien du tout, se tait. Il la ferme bien fort. Il fait le roseau. Et les plus souples peuvent toujours se toucher les pieds en attendant que ça passe…
L’homme et sa technologie sont hautains. Ils passent à côté de la nature comme nous passons tous à côté d’un clochard. En le regardant de trop haut, en lui donnant la pièce parfois.
Et puis, de temps en temps, elle se fâche.
L’homme s’en étonne et fait plein de reportages. Sur les conséquences. Mais jamais sur les « pourquoi ». Dès fois que celui qui filme se retrouve à l’image.
Mais c’est bien pour elle que les bipèdes devraient « construire des églises ». Certains humains dans certains pays l’ont compris.
D’autres continuent à jouer la comédie et à bouffer des hosties.
Un bon ouragan pour emporter tout ça…..
Amen.