[a suivre]
Mois : avril 2018
PEAU DE FLEUR
LE BOUT DES SAINTS
Saint Thomas croit ce qu’il voit. Quand à moi, je vois ce que j’entends. Peut être était il aveugle, je ne suis pas sourd…
… et, pour que la vie s’apaise, ne vois aucune raison,
Ne consens aucune valeur à la parole viciée de ces donneurs de leçon,
De ce manipulateur d’êtres en torchon.
Trois femmes aux seins nus dans la crèche de la place Saint-Pierre,
Mesdames, je vous accompagne par les mots, imaginez moi la bite à l’air,
Un perchoir pour jolis oisillons,
Sur cette symbolique de forfaitures répétées, ce sont leurs chants de Noel que nous entendons,
Que la scène est belle, pressons nous devant ce miroir en plastique,
Cette peinture en vomi,
En négatif cynique,
Venez les enfants, contemplez la vérité, la sagesse et le déni,
Soulevez les toges et vous y trouverez les poignards, les fioles de manipulation,
Et bien d’autres choses dont ils vous diront,
En s’agenouillant, les yeux clos juste avant l’offense,
Que le bonheur est au bout de la branche……
JOYEUX NOEL
L’HETRE QUI CACHE LA FORET
Heureusement pour les fans que Johnny était présent à son enterrement.
Depuis, les principes de réalité fouettent les visages.
Ça vole au dessus de la mère…
J’ai mal au denier public.
Dame Eglise, venue sucer sa part d’idole, doit être toute échevelée.
OTO-RHINO-FEROCE
Vilains gros maux
Dans cette chienne de tête,
Corps moulu,
Cervelle défaite,
Et sommeil foutu.
C’EST LA CERISE QUI FAIT DÉBORDER LE VASE, LE POMPON DANS LA GOUTTE D’EAU…
Pensée aux cheminots…
Je n’ai pas les mots,
Et ne souhaite pas qu’ils dépassent ma pensée,
Pour peu qu’ils soient grossiers…