COMMUNISTAPITALISTE

En cette période de fêtes, je propose de porter un toast au Gouvernement Chinois. Rendons à César ce qui est à Xi Jinping.

Levons nos verres à ces deux années vérolées et aux prochaines,
Aux 5,5 Millions de décès,
A nos jeunes déroutés,
A nos anciens sclérosés,
A nos épaules 3 barrettes,
Aux milliards de l’économie parallèle qui n’est pas prête de s’en passer,

Sans qu’aucune genèse ne soit reconnue.
Sans qu’aucune enquête n’ait abouti.
Alors que tout journaliste était raccompagné à la frontière par sa sangle,
En même temps que Li Wenliang mourrait d’expression libre.

Mais, si le communisme est opaque, il reste prévoyant.
Levons de nouveau nos verres à ses millions de masques et de tests,
Reçus par tankers entiers, par dessus les pôles, surchauffant notre planète,
Et le cœur des Russes, ceux des Inuits qui connaissent enfin le bonheur du slip de bain.

Encore quelques années et la planète sera à poil.
M. Jinping en fourrure.

LA DEUX CHEVRONS

Merci à Sandrine, Lou, Kayak, Axel, Marie, Antonin, Yvette, Annie, Manuche, Popo, Daniel, ma maman, Antoine, Martine, Betty, Jean-Luc, Arno, A2, Michele, Marjorie, Rémi, Marion, Brigitte, Jean-Paul, Marie-Jo, Manon d’avoir souhaité mon anniversaire ce 24 Décembre.

Et merci également à Citroën Chambéry et Citroën France. Merci de cette attention. Merci beaucoup.

DEVIL IS IN THE DETAILS…

La langue anglaise autorise, en peu de mots, une multitude de messages.

Ici, elle pose les fondations de l’exigence.
Le soucis du détail est l’outil de forme qui moule fond.
De lui vient la perfection.
C’est un paradoxe : la réussite vient de l’invisible. Des intentions.
L’impalpable fait la différence d’entre les Hommes.
Difficile à admettre pour un né « m’as tu-vu ».
Mais ce détail est l’histoire de l’amour de son prochain et de soi-même.
C’est l’histoire du sens « des choses », du pourquoi.
Du « être ou ne pas être  » disait Shakespeare.

A l’opposé, le « j’m’en-foutisme », « l’irrespect » qui avilissent les esprits. Et force est de constater que moultes d’entre-deux vivent médiocrement. 
Ce que je nommerais les imbéciles malheureux malgré eux.
Leurs « victoires » ne sont que délabrements d’eux-mêmes.
Leur addition, une soustraction de leur personne à la seule idée d’être respectable.
Et, apothéose, malgré les épaisses strates de crasse qui font leurs cerveaux, ils le savent.  Ils le sentent. Attisant leur haine. Leurs irrespects. Leur médiocrité.
Au point de devenir minables à force de s’ignorer.
Comme disait Simone.

« En gros » comme ne disait pas Shakespeare qui savait se tenir, l’élégance de nos vie se construit aussi dans le désir de bien faire, dans le don de soi et l’expression, sous toutes ses formes, de l’amour que nous avons d’autres et de soi.

L’estime de soi est cet œuf de la poule. Qui commence ?  L’œuf ou la poule ?
L’estime de soi ou le don de soi ?
Lequel commence à construire la relation à soi et aux autres ?

Quand au mot « amour », prenons le avec légèreté, dans son sens générique, initial. Car il est un grand incompris. Il est autre chose que l’interdit qui ne l’autorise que dans les sacro-saint liens du mariage. Il n’est que le seul et réellement unique moteur de vie de l’Humain de passage.

Qui, lorsqu’il ne le trouve pas ou bien plus,  le remplace par la « haine ».

Sa sœur « hainée ».

Il suffit de regarder la planète pour comprendre que c’est bien elle la plus grande.