A LA SECONDE PRÈS

Prenez ce temps que vous estimez devoir.

En contemplant le désastre qui broie l’heure en seconde.

Il vous en reste un immense réservoir.

Empruntez le chemin de lente, juste en dessous de celui du coureur de monde.

Il monte adroitement doucement. A pieds.

Pendant que le second zigzague, serpente. Puis titube avant de s’affaler.

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