La liberté ?
C’est une solitude conditionnée…
La liberté ?
C’est une solitude conditionnée…
Lorsque tu donnes, la limite, la difficulté se dessinent au moment où l’autre ne perçoit plus qu’il reçoit.
Il s’habitue.
En acceptant les failles de chacun, l’individu invente une zone de tolérance pour tous.
Une zone d’enfance adulte.
Un no man’s land d’insouciance.
Ecrire un beau texte, créer un objet, extraire et développer une image relève de l’unique recommencé.
Le créateur y revient pour vivre de nouveau.
Je pense que « les choses » ont une vie.
Et qu’elles se débrouillent souvent très bien toutes seules.
Une douleur est de ne plus apercevoir, deviner son reflet dans la pupille de l’autre,
De ne plus le voir alors que le sien reste dans la nôtre,
A cet instant, vous êtes mort de la cornée.
Je rêvais la vie comme un mur d’escalade déroulant.
Les prises se succèdent ou s’effacent.
Inlassablement.
Comme dans un jeu de foire ; une prise avant le grand saut,
Avec quatre, tu défies les éléments,
A zéro, tu tombes, te fracasses le dos.
Et les dents…