L’IRLANDE est un pays magnifique.
Par contre, tous ces gens qui roulent à contre-sens, c’est dangereux.
L’IRLANDE est un pays magnifique.
Par contre, tous ces gens qui roulent à contre-sens, c’est dangereux.
Quand j’serai grand, j’serai gardien de cailloux, maman !..
…Oui ! Mais je crains que tu sois payé au lance-pierre mon fils !
….Un cycliste déguisé…..
Un médiocre qui s’ignore est un minable.
Anonyme
Il laboure et il sème.
Il la bourre et ils s’aiment.
Les silhouettes sont les portraits de l’absence.
Fantomas
La photo ?…Rendre beau pour tout le temps une fraction de seconde de la cornée.
Lolo
Avez-vous vu ces gouttes qui se suicident après l’orage ? Certaines s’accrochent, s’agrippent. Et finissent par tomber. Les plus fortes, elles, s’évaporent. Elles ont ce réconfort de disparaître fièrement « par le haut ».
Extrait de « Orage et désespoir »
Je sais lire dans les culs de bouteille…et, parfois, je vois rouge !
Hercule de Jatte
Les hautes montagnes ne sont pas entourées du vide de la chute meurtrière,
Elles sont une pointe au-dessus,
Au lointain d’un équilibre qui les rend fières,
Et contribuent à la beauté du point de vue.
Leur ascension est faite pour être gravée,
Poser au plus haut notre caillou,
Tombera la neige et lui en dessous,
Qui le recouvrira pour l’éternité, pour qu’il ne soit jamais défloré,
Jamais égalé.
Finalement, il s’est avéré que j’étais cancre,
Ou qu’encre déjà.
Qui est donc ce cancrelat ?
Qui s’agite dans ce creux là…
Sans ancre et avec le sang pour sens…
Si sa plume est blanche, alors, il est un nuage,
Noire, il est un orage.
à RENAUD.
A son amour des mots, un amour pour de vrai,
Celui qui fait respirer et qui rend élégant,
Celui qui te protège de la tête aux pieds,
Qui te met le bonnet, les moufles et les gants,
Mais pas le pare-effrayant,
Sombre sa carlingue déglinguée,
Qui a mal au monde, qui a mal aux gens,
Cernes aux yeux délavés
Les mots échouent dans leur élan,
Le poète aux clous voit son encre en ciment.
De l’Homme qui voulait sauver, coule, éventrée, la sensibilité.
Épuisé de se taire, fatigué de parler.
Fatigué de sourire, fatigué de pleurer,
Renaud SECHAN
Fatigué de chercher quelques traces d’amour,
Dans l’océan de boue où sombre la pensée,
Fatigué, fatigué.