Ce que nous pouvons écrire, ce dont nous sommes certains maintenant est que, en dictature, le dictateur n’est pas ce gendarme du peuple, ce totem d’autorité salvatrice, ce patron aux épaules fermes.
Non.
En dictature, LE dictateur est juste le pire parmi ses assoiffés.
Élu au bulletin de la lâcheté.
Au suffrage de la peur.