Que l’Homme qui se redresse chaque matin,
En pensant au-delà de lui lève haut les mains.
Éphémère exsangue de pensées de demain,
Sa sphère, éternelle, évide à coups de poings.
A la terre, à l’eau, le sang se mêlera,
D’une noire épée, le cœur de battre cessera,
Alors condamné, le plus faible aura gagné,
Ephémère mort d’égo et voracité.