La dérision est tout l’art du clown tourmenté.
Un virus et puis cet immense iceberg qui se met sur le dos. Qui remet dans la lumière les vieux, les gros, les malades, les fragiles, les tais-toi, les pousse-toi sous le tapis, les handicapés, les « improductifs », les « inutiles ».
Ceux que les « utiles » parquent, ceux au dessus desquels passent les regards des bien-portants, des « parfaits », des « ayants droits » au progrès.
Lorsque la situation sanitaire le permet.