La vie est une condamnation à perpétuité : nous sommes enfermés dans notre corps. Nous n’en sortons jamais et il décide de tout. Nous l’oublions en permanence alors que cela devrait être un pré requis. Et, un jour, il nous condamne à mort.
J’entends dire « La vie est une autoroute ». Bien. Je décide donc de laisser la voie de droite aux poids lourds ; je me cale sur la voie du milieu car je m’inquiète de la santé mentale des automobilistes de la voie de gauche.