La maltraitance serait une vengeance de sa propre condition.
Nous payons tous, à un instant de notre vie, notre propre dureté envers les autres. Nous sommes tous un maillon du cercle vicieux.
(……)
La vie est labour.
Nous sommes cheval de trait.
Soit nous tirons chaque jour.
Soit nous basculons sur le coté.
En pleurant, les larmes, sur le visage, finissent par s’arrêter.
Elles s’y collent. Se figent sur place.
Y fabriquent une carapace.
En nous permettant de continuer à tirer.