Dans une seconde vie, je voudrais bien être équipé d’une queue en poil de chat.
Polichinelle.
Allons Messieurs, je vous vois de marbre !…ce n’est pas déjà si mal,
Benjamin, malgré les apparences, je soutiens l’homme,
Car je comprend l’animal,
Maladroit et si humain, c’est pour ta pomme,
Juste tombé sur un chacal,
Un « ar-triste » névrosé à l’affût du mal,
De la faiblesse de nos entrailles, de l’éphémère que la mort somme.